MASKED RITUALS OF AFIKPO

Description&nbsp

Dans une approche unique de l’objet populaire de l’art africain, S. Ottenberg étudie une forme d’art sculpturale majeur d’une société africaine, le masque sculpté , et analyse chacun de ses aspects – les styles, les usages, les contextes culturels et les symboles, les fonctions, et leur esthétiques. La population de Afikpo Village – Groupe dans le Centre Est du Nigeria a développé une tradition masquée qui, dans son rapport étroit avec la société secrète des hommes et le cycle du festival annuel, constitue une part importante de la vie d’Afikpo. Puisqu’un masque crée un écran entre son porteur et le public, il permet souvent aux artistes interprètes ou exécutants d’agir plus franchement que ce qu’ils font d’ordinaire, et ainsi c’est à travers les jeux masqués que l’on trouve la satire et le commentaire significatif sur les pratiques sociales Afikpo. Pour chacun des douze en bois, une calebasse, et deux formes nettes de masque trouvées à Afikpo, l’auteur donne une description détaillée de style de base, de variations, d’origines, et des usages. En décrivant le processus de coloration et de la sculpture des masques, S. Ottenberg définit également la position des sculpteurs dans l’échelle sociale Afikpo. La majeure partie du livre est consacrée à montrer comment les masques sont utilisés dans les divers rituels – les dances et les scènes de jeux, la parade « njenji », la traque des jeux, les courses à pieds et les initiations de société secrète. Le texte proprement dit ainsi que le rapport et l’interprétation, d’une présentation en 1952 de la plus élaborée des traditions Afikpo, le « okumkpa », recréent le spectacle, étape par étape. Tout au long, Ottenberg a mélangé son point de vue – un mélange d’anthropologie, d’histoire de l’art et d’esthétique occidentale – avec ses propres sentiments et réactions d’Afikpo aux masques et rituels. De cette manière, ajoute-t-il à ses écrits précédents sur les rapports sociaux d’Afikpo en révélant leurs concepts et valeurs culturelles. (Trente-six photos en couleurs et de nombreuses illustrations n/b donnent une richesse picturale à l’origine du texte).